HENRI-PIERRE ROCHÉ.

Profession : écrivain.

 

 

 

 

 

 

Thèse présentée par Xavier Rockenstrocly,

sous la direction du Professeur Claude MARTIN.

Université Lumière-Lyon II

1996

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                      Si je meurs avant, qui pourrait en tirer ce qui y est ?

 

 

                                                  Henri-Pierre Roché, Journal, 10 août 1922.

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

Remerciements

 

 

 

 

         L’exercice est quelque peu formel. Mais au moment de présenter ce travail, il se veut sincère et espère n’oublier personne.

 

         Qu’il me soit permis d’abord de dire la dette contractée à l’égard du Rotary Club grâce auquel j’ai pu me rendre à Austin (Texas). Ce voyage, comme on le verra, a été décisif pour mes recherches. Que Jacques Fleury et Alfred Delsart soient bien sûrs que je sais combien je leur suis redevable : sans eux, sans leur ténacité, ce travail ne ressemblerait pas à ce qu’il est.

 

         Il faudrait citer nombre de personnes qui de près ou de loin ont suivi mon travail. Ceux qui m’ont fait passer des films de Truffaut aux livres de Roché, ceux qui ont guetté l’apparition de son nom dans un livre, un journal ou une exposition, ceux qui ont accepté des rendez-vous, ceux qui ont assuré la logistique : merci donc à Bruno et Isabelle Guédel, à Jean C. Roché, à Fernand et Michèle Soubeyran. Merci aussi à Linda Ashton, du HRHRC à Austin pour tous les manuscrits qu’elle a mis à ma disposition, et à Frank Yezel pour son accueil et ses conseils. Merci à Jackie Feschet et à François Rubert qui restent persuadés que je sais me servir d’un ordinateur. Merci enfin à tous ceux et toutes celles qui ont supporté mes humeurs, qui ont manifesté leur intérêt pour Roché : famille et amis, toutes générations confondues ...

 

         L’inavouable J.H. saura-t-il que son soutien, le jour, la nuit, m’a été précieux ?

 

         C’est presque un cliché : je remercie très sincèrement et très vivement mon directeur de thèse, le professeur Claude Martin. Mais si cliché il y a, celui-ci est remotivé : le professeur Martin a toujours été présent, et surtout quand il n’avait pas à l’être : longs silences, courriers en retard, rendez-vous déplacés... Il a toujours fait preuve d’une extrême attention à ce travail. Il a été, en outre, et ce n’est pas là sa moinde qualité, le seul, sans doute, à ne jamais douter que celui-ci soit achevé un jour.

 

         Il faudrait inventer une mention spéciale, un titre nouveau pour le décerner à Sylvie Fornero qui a lu et relu, corrigé et corrigé encore, sans jamais se lasser, tout en soutenant les nombreuses faiblesses du scripteur : ce travail lui doit beaucoup, plus encore.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                        A ma femme,

                                                        à mon fils Théo,

                                                        pour le temps et les baisers volés.